Les pratiques de la généalogie
- Réponses à un questionnaire
- Une quarantaine de généalogistes ont répondus à une enquête (question posée en février 2003 sur 3 listes de discussion : standard-genealogie, Heredis et Généatique).Ca concernait leur pratique. Les réponses sont groupés par thèmes. Un condensé précède le lien qui vous conduira au détail de tous les commentaires enregistrés. La majorité des rédacteurs souhaite garder l'anonymat. Il n'y a donc pas de citation, mais les textes sont restitués tels que reçus pour conserver leur portée.
- Autres sites
- http://www.visseaux.org/pourquoi.htm
- http://www.francogene.com/pourquoi.php
- humour http://www.odile-halbert.com/Genea/gout/Logiciel.htm
- Comment avez-vous commencé la généalogie ?
- Pour le plus grand nombre c'est dans le cadre familial qu'est né le désir pour des recherches généalogiques.
- Pourquoi faites vous de la généalogie ?
- Compenser l'absence de renseignements précis et concrets ressort comme une volonté profonde. La connaissance de la seule cellule familiale ne suffit pas. La première cible couvre les ascendants proches. Il s'agit d'abord de les identifier, puis de les décrire. La curiosité est toujours présente.
- Quelles informations recherchez-vous ?
- La collecte des éléments d'état civil est la premier objectif. Cependant les éléments d'environnement ne sont pas négligés. Certains recherchent aussi les références historiques, géographiques.
- Quelles informations échangez-vous ?
- De façon générale il n'apparaît pas de retenue pour la nature des informations. Cependant ce qui concerne des contemporains reste dans le domaine privé.
- Avec qui et comment ?
- Toutes les informations sans à priori sont disponibles pour échange et souvent les généalogies sont accessibles sur des sites privés. Toutefois c'est bien le véritable échange qui est recherché.
- Avez-vous un but et si oui lequel ?
- Satisfaire la curiosité est le premier besoin, pour la famille, pour les ascendants, pour les collatéraux, pour une perspective historique. Lorsque ces recherches sont bien avancées , bien qu'interminables, un nouveau désir émerge. Celui de transmettre toutes ces connaissances qui prennent place dans le patrimoine familial.
- Comment publiez-vous vous informations ?
- La majorité utilise le plus possible Internet par un site personnel ou en adhérant à des banques, nombreuses et d'accès facile. Une minorité ne publie pas mais participe aux échanges. Certains pensent ne pas maîtriser suffisamment l'outil informatique.
- Et pourquoi ?
- La publication est un excellent moyen de nourrir les échanges. Cette raison est dominante. Nul n'est propriétaire des données généalogiques, aussi certains se font un devoir de restituer à la communauté sous une forme largement accessible. Enfin de ci de là une pointe d'exhibitionnisme, de narcissisme.
Comment avez-vous commencé la généalogie ?
Mes parents avaient fait quelques recherches concernant leurs proches aïeux. J'ai eu envie de continuer et les nouvelles possibilités offertes par l'informatique m'ont encouragées.
J'ai commencé la généalogie à l'âge de quinze ans, en interrogeant mes deux grand-mères et en allant récupérer des actes à la mairie de la ville où elles résidaient et où je suis né. Et puis j'ai laissé tomber après 2-3 années. Par contre j'ai toujours eu une chemise cartonnée, dite "rose", dans laquelle étaient entassés des éléments généalogiques (fiches d'état civil, brouillons de témoignages .) pour le jour où ... Et c'est 20 ans après que je m'y suis remis, cette fois-ci sérieusement en reprenant ma fameuse chemise "rose". J'ai aujourd'hui 43 ans et je recherche les origines de mes 3 enfants.
En exploitant un acte de partage de 1878 retrouvé dans des papiers de famille et jamais examiné depuis 35 ans que je le détiens. Donc un peu par hasard.
A la suite d'une réaction d'une amie à qui je montrais quelques photos anciennes de mes parents et grands parents et qui me trouvais bien privilégié d'avoir ces souvenirs, de là j'ai commencé à demander à ma mère de m'en dire un peu plus et de me raconter l'histoire de ces photos Histoire qui pendant longtemps ne m'ont pas trop intéressé : j'en avais trop entendu parler : nous avons tous deux âges, en effet, celui que nous donne notre date de naissance et celui de notre mémoire qui remonte avant notre naissance aux souvenirs d'enfance de nos parents.
J'ai tout d'abord commencé à discuter avec mes parents sur mes ancêtres. j'ai inscrit le tout sur papier j'ai essayer une panoplie de programme sur P.C., ce qui n'a pas toujours faciliter les choses je dois le dire. passer d'un prg à l'autre m'a détruit bcp de données et j'ai dû recommencer 36 x. je dois dire ici que Hérédis me convient finalement le mieux.
En triant les papiers d'une tante décédée, j'ai trouvé des actes de mariage et le livret de famille du XIX°...puis la retraite aidant je me suis prise au jeu
En classant et archivant des papiers, des photos de famille, j'ai voulu en savoir plus.En demandant à mes parents lorsque j'avais environ 8 ans et que l'on construit une petit arbre de 3 générations pour l'école.En retrouvant une malle remplie de vieux documents et papiers divers sur ma famille, j'ai décidé de classer tout cela en utilisant l'informatique (une autre activité qui me plait).
Tout de suite sur informatique, en interrogeant mes parents et en collectant dans ma famille ce qui avait pu être fait sur certaines branches.
Le top de départ c'est... après une visite dans de la famille éloignée... pour arriver à cerner les liens de parentés de façon plus "visuelle". Dans les mois qui ont suivi... c'est le virus "gen"
Mes premiers pas n'avaient rien à voir avec la généalogie familiale ! A 15 ans ( j'en ai 57 ), j'ai emmené avec moi en vacances un gros dictionnaire et j'ai tenté de faire la généalogie des dieux grecs. Je ne saurais pas vous dire pourquoi je m'était lancé dans ce vaste travail ( que malheureusement je n'ai pas conservé )
La première fois ce fut pour rendre service à une cousine handicapée et qui ne pouvait ni écrire dans les mairies ni se déplacer, et puis, peu à peu , je me suis laissée prendre au jeu et j'ai eu envie de continuer! J'ai à présent gravement chopé le " Virus" et je contamine tous mes proches. Je suis adhérente active de mon cercle généalogique local et j'aide les débutants à commencer leur généalogie, lecture de microfilms etc.....
A la suite de plusieurs décès et devant l'incapacité des "survivants" de me parler de nos ancêtres proches pourtant, je me suis inquiété de cette perte de mémoire familiale aggravée par l'incapacité d'identifier les personnes figurant sur de vieilles photos non datées généralement, j'ai voulu faire quelque chose et voir s'il était possible de retrouver ces ancêtres et comment ! Devant les surprises rencontrées ( personne ne savait plus que le père de ma grand mère paternelle était belge ! ni ce qu'était devenus un grand oncle "disparu" des conversations familiales après un divorce ) j'ai tenu à poursuivre cette démarche. Il m'a donc fallu apprendre la généalogie, mais aussi très vite me mettre à l'informatique...or, à 54 ans je n'avais jamais approché un clavier !
Initiée par une amie qui la pratiquait depuis déjà plusieurs années. Tout d'abord en constituant des fiches manuscrites, puis en utilisant Hérédis. J'ai pris comme point de départ une information familiale .... et de là j'ai tiré "le fil d'Ariane".
A l'âge de 12 ans en observant mon grand père faire son arbre, et pester devant une situation inextricable (il n'a jamais pu la démêler durant le peu qui lui restait à vivre et moi ç'a m'a pris une dizaine d'années)
Par hasard, après avoir acheté la maison de ma grand mère. La première fois ce fut pour rendre service à une cousine handicapée et qui ne pouvait ni écrire dans les mairies ni se déplacer, et puis, peu à peu , je me suis laissée prendre au jeu et j'ai eu envie de continuer! J'ai à présent gravement chopé le " Virus" et je contamine tous mes proches. Je suis adhérente active de mon cercle généalogique local et j'aide les débutants à commencer leur généalogie, lecture de microfilms etc.....Par les membres de la famille
Initiée par une amie qui la pratiquait depuis déjà plusieurs années. Tout d'abord en constituant des fiches manuscrites, puis en utilisant Hérédis. J'ai pris comme point de départ une information familiale .... et de là j'ai tiré "le fil d'Ariane".Devant un caveau de famille ouvert à l'occasion de l'inhumation d'une tante j'ai pris conscience de connaître peu de choses du passé de cette famille ..........c'était parti il y a 23 ans
Je me suis intéressé à la généalogie en 2001 (C'est récent) en retrouvant un vieux fichier DOS ou j'avais des informations sur ma famille proche (père, mère , frères et soeurs). J'ai acheté un livre sur la pratique de la généalogie pour mesurer la difficulté des investigations. Puis très vite après l'avoir testé ,j'ai acheté le logiciel de généalogie objet de notre liste pour stocker et gérer toutes mes informations. Quelques cours d'initiation à un centre généalogique et voilà c'est parti.
Je voulais approfondir la connaissance des origines de mes parents (de régions très différentes) mais surtout connaître leurs professions, aucunement de rechercher des traces de "sang bleu".
Le fol espoir de dresser un arbre suffisamment abouti pour notre mariage ! Mais il faudrait plutôt parler d'arbuste, car voici 3 ans que cet événement a eu lieu, et nous n'en sommes qu'au dépouillement des registres d'état civil et paroissiaux. Mais ne relâchons par l'effort : les noces approchent (plus que 47 ans...) !
Tout à, fait par hasard, lorsqu'en 1980 mon fils avait pour devoir d'école faites votre arbre généalogique.
Par goût, parce que mon beau frère avait déjà fait un gros début de travail. Depuis, j'ai compris que c'était pour rechercher mes racines, pour m'inscrire dans un "tuyaux d'évolution" d'un groupe familial.
En 1995 env. après ma mise au chômage à 52 ans 1/2, aussi après décès de mon père en 1993, sans bonne relations : famille éclatée, moi-même divorcée avec un enfant et recherche d'une famille virtuelle
Pourquoi faites vous de la généalogie ?
Je souhaite, comme le ferait un "griot", contribuer à perpétuer l'arbre et les souvenirs familiaux.
Pour moi la généalogie c'est le plaisir de connaître les origines géographiques, sociales des ancêtres de mes enfants. Pour la géographie je suis assez gâté car je "couvre" une bonne partie des départements français, mais également la Pologne, l'Angleterre et la Belgique. C'est également la résolution d'énigmes, un véritable jeu de piste, beaucoup mieux que ceux vendus dans le commerce !!!! C'est une vraie passion. Je suis aussi content, quand mes recherches pour une tierce personne (demande via Internet, solidarité..) aboutissent, que quand une de mes branche progresse.
Allez savoir ? J'ai dit un jour: alors que le temps de m'en aller approche, j'aimerais savoir d'où je viens. J'ai le goût de la recherche et de l'enquête. Je me sens bien quand je fais un saut en Ardèche (aux AD). J'ai une sorte de tendresse (croissante) pour les petits cultivateurs ardéchois pauvres (pléonasme ?) dont je descends et que je découvre petit à petit.
Parce que ma fille, mes frères et soeurs, mes neveux et petits neveux demandent la suite... Pour me rapprocher de mon père avec qui j'ai peu échangé durant sa vie. Pour rendre justice à mes grands parents que la guerre de 14-18 n'a pas épargnés. Pour que ne disparaisse pas le nom des dizaines des toutes petites gens qui constituent ma lignée.
Par intérêts personnelles, pour connaître qui étaient mes ascendants, comment ils ont vécu quelle étaient leur vie quotidienne. La généalogie pour moi ne consiste pas uniquement à rédiger un Bottin téléphonique.
C'est devenu une passion : essayer de remonter chaque branche et trouver comment vivaient mes ancêtres.
Par plaisir, pour m'occuper, pour en connaître plus sur mes ancêtres, mes racines.
Par curiosité familiale et surtout pour connaître mes différentes origines sachant quelles sont tous azimuts
L'aspect d'enquêtes et de recherches me plait. De plus j'aime les vieux papiers les vielles photos qui ravivent le passe.
Ca me trottait depuis longtemps dans la tête, je voulais vérifier que mes origines étaient bien toutes autour de mon village, ou sinon savoir d'où ça venait.
Pour continuer à faire quelque chose d'utile à tous, et plus égoïstement pour le plaisir des recherches (esprit fouille-m...)
Pour le plaisir
Pour la passion (passe-temps)
Peut être parce que j'ai l'esprit chercheur, mais un jour mon père nous a dit à mon frère et moi avant que l'on se marient " il va falloir que vous pensiez à avoir des enfants si vous ne voulez pas que le nom disparaisse " Propos étonnant car je savais que son frère avait 8 garçons et que donc logiquement, le patronyme n'avait pas trop de soucis à se faire.
C'est un sacre virus. La recherche historique et la partie 'Sherlock Holmes' de le la recherche m'a toujours plus
Pour connaître mes racines car " Celui qui ne sait pas d'où il vient ne peux savoir où il va ! "Pour retrouver à la fois mes ancêtres et les contemporains inconnus, beaucoup plus nombreux que je ne le pensais ! Une première cousinade organisée en partant de mon arrière grand père paternel a été édifiante ! Et l'enthousiasme rencontré m'a conduit à voyager, rencontrer ces cousins proches, leurs familles, faire réapparaître des archives familiales.
Pour savoir qui étaient mes ancêtres, comment ils vivaient... et pour le simple plaisir de la recherche. Aussi pour la part d'imprévu quand je tombe sur un cousin.Pour connaître mes racines car " Celui qui ne sait pas d'où il vient ne peux savoir où il va ! "Peut être parce que j'ai l'esprit chercheur, mais un jour mon père nous a dit à mon frère et moi avant que l'on se marient " il va falloir que vous pensiez à avoir des enfants si vous ne voulez pas que le nom disparaisse " Propos étonnant car je savais que son frère avait 8 garçons et que donc logiquement, le patronyme n'avait pas trop de soucis à se faire.C'est un sacre virus. La recherche historique et la partie 'Sherlock Holmes' de le la recherche m'a toujours plus
Pour laisser une trace aux petits enfants
Pour faire revivre un peu mes Pépés, mieux connaître leur existence. Et puis j'adore faire des recherches dans des vieux grimoires.Connaître la vie de mes ancêtres ou avaient-ils vécu ? étaient- ils originaires de ce petit coin .... Les informations recherchées TOUTES lieu nombres d'enfants les caractéristiques physiques trouvées dans la série militaire ......je voulais savoir la chance d'avoir des petits-enfants aux yeux bleus !!!!!!!!!!
Par passion de l'histoire à travers la vie mes ancêtres :C'est mon passe temps. Comme beaucoup d'entre nous j'y prends du plaisir. C'est simple non ?
Pouvoir expliquer à mes enfants quelles sont leurs origines, ce que leurs ascendants ont vécu et ce qu'il ont été. Retrouver des liens de parentés oublié ou inconnu. Comprendre le pourquoi d'une phrase de ma grand-mère paternelle. La réponse en a été une preuve des conciliabules en famille du XIXe et des déformations aux informations de la tradition orale.
En premier lieu, c'est un loisir parmi d'autres, et qui a l'avantage d'être partagé en couple. Deuxièmement, c'est un "prétexte" pour s'évader lors des repos et des congés pour aller découvrir des communes que nous ne connaissions même pas de nom, et de découvrir des régions, des cultures et des traditions inconnues ou méconnues. Troisièmement (et seulement en troisième place...), la généalogie nous permet de connaître les origines de nos familles respectives, les métiers exercés et l'histoire locale (à noter que ce dernier point tend à prendre un intérêt croissant au fil des années de recherche : la phase de murissement de la démarche, probablement...).
J'avais toujours entendu parler par ma mère de son agp, Tuli , ancien soldat de la Grande Armée, d'origine italienne et qui se serait fixé en Ardèche. A la poursuite de cet ancêtre, je me suis donc lancé dans la généalogie et j'ai découvert qu'il n'avait jamais appartenu à la Grande Armée et que sa famille était originaire d'Yssingeaux ! Très contaminé par le virus généalogique , à partir de 85, avec ma femme, nous avons consacré une bonne partie des congés annuels dans un tour de France de mairies et d'AD, pour faire nos généalogies et celles des "pièces rapportées" d'abord pour établir un cadre puis ultérieurement à essayer de le meubler par la recherche d'actes notariaux. Puis à déborder le cadre de la généalogie en s'interessant à la vie des paroisses autrefois et surtout, du fait d'abjurations en 1685 d'ancêtres ardéchois, aux troubles religieux ayant agité l'Ardèche jusqu'en 1685 et au-delà. Aimant les écritures anciennes ,les faits divers apparaissant parfois dans les BMS, j'ai participé à la confection des tables des BMS de plusieurs paroisses ardéchoises pour la SAGA.
Parce que les réponses aux premières question furent simples puis partielles pour les secondes, et ....blocages. Ce n'était pas possible d'en connaître si peu sur ses racines et donc cela fait 23 ans que je cherches...:--))
devenu maintenant une passion, pratique sur Internet, beaucoup de Cousins et de contacts par listes d'échanges, trouvailles sur Geneanet, CGW, etc...... encore une fois une autre grande famille avec les mêmes aspirations ! Dans notre milieu, il semble qu'il y ait peu de Gogo, si oui, ils s'éliminent d'eux même !
Quelles informations recherchez-vous ?
Tout ce qui peut avoir un lien avec mes ascendants, mais aussi retrouver des cousins.Bien sur je recherche la filiation de chacun pour alimenter un fichier informatique qui me permet de collecter toutes mes informations (j'utilise Hérédis), mais également je recherche les actes qui me permettent de valider ces informations. Une fois l'acte trouvé je renseigne un autre fichier qui lui ne contient QUE des informations validées par des actes en ma possession. Je travaille également avec la même méthode pour la recherche de descendants donc de cousins. Je préfère, dans la mesure du possible, rechercher dans les mairies que dans les archives départementales. Je préfère les écrits originaux que les microfilms. J'aime connaître les lieux, les villages, les maisons, les rues de mes ancêtres ou ceux de mon épouse.
A la base, les événements au sens généalogique. Mais quand un document m'en apprend davantage sur le quotidien de mes ancêtres, ou sur un épisode particulier de leur vie, ou qu'il me pose une énigme, c'est encore plus intéressant.
Les ascendants bien sûr, mais aussi leurs enfants, l'âge à leur mariage, au premier enfant, à leur décès, l'endroit précis où ils vivaient etc. La profession, et comment peu à peu ils ont cessé d'être des gens de labeur pour devenir couvreur, charpentier, horticulteur Leur migration (intérieure à la France ) pour trouver de quoi mieux vivre. Les faits divers notés dans les actes ou dans les registres. Le tout en parallèle à l'histoire de France, histoire politique, sociale ou culturelle. Eclaircir aussi dans l'histoire plus proche des zones d'ombre de l'histoire familiale
Le plus possible d'informations: évidemment les infos de base (DN/DD/DM.....) mais également des anecdotes. Dans quelle maison ont il vécu ? Est-ce-que la demeure existe encore ? existe-il des photos de leur habitation ? Enfin comme j'explique sous le point 2. les moeurs de l'époque pendant laquelle ils ont vécu.
Les données d'état-civil bien sûr, mais aussi tous les détails possibles sur leur mode de vie.
Toutes, sans aucune restriction même celles qui ne sont pas liées directement à la stricte généalogie.
Toutes celles que je trouve - patronymes - métiers - actes notariés - procès divers
Toutes sortes de documents ayant une relation avec mes ascendants.
BMS ascendance complète pour l'instant.
D'abord les renseignements personnels (dates lieux etc...) ensuite j'étaye... avec des renseignements divers (rapport à l'histoire générale ou locale, métiers, vocabulaire, anecdotes... faits divers et pièces de police éventuellement, enfin tout ce qui permet de cerner ce qu'a été la vie des ancêtres trouvés.... liste non exhaustive. Tout est bon à prendre quand on essaye de comprendre !
Pour l'instant, je recherche que les actes d'état civil et paroissiales pour une ascendance.
Tout ce qui peut me permettre de retrouver mes ascendants, ainsi que des cousins, peut importe le degrés, tous ce qui pourrais me permettre de connaitre leur histoire, leur mode de vie.
Les classiques: Naissance mariage décès mais aussi du fait de l'abondance de protestants dans la famille, les contrats de mariage, testaments, partages, codicilles etc...
Je veux tout savoir d'eux, aussi modestes soient-ils! Leurs âges au mariage, leurs tailles, leurs particularités physiques quelquefois par le SHAT, leurs surnoms très souvent .Le montant de la modeste dot des filles par les CM. J'aime imaginer comment ils vivaient.
Au delà d'un maximum d'ancêtres, connaitre leurs métiers, leurs déplacements, l'histoire des villages concernés. Avec un point spécial : dans ses mémoires Philippe de Commynes cite un officier ou notable exécuté sur ordre de Charles Le Téméraire et qui porte mon nom. Dans la mesure où il s'était enfui et réfugié dans les Ardennes, berceau de ma famille, je rêve bien entendu de faire un jour le lien entre ce Madoulet du 15° s. et mes ancêtres connus.....mais 200 ans les séparent encore ! ;-)
Toutes informations me permettant justement de mieux cerner l'existence de mes aïeux ; les dates BMS sont bien sûres les premières, mais pas les seules : anecdotes diverses concernant les lieux, les familles, les modes de vies de l'époque ....
Actuellement surtout des actes d'état civils, notariés, des articles de journaux et quand c'est possible des témoignages (là, le temps joue contre moi).
Tout ce qui peut me permettre de retrouver mes ascendants, ainsi que des cousins, peut importe le degrés, tous ce qui pourrais me permettre de connaitre leur histoire, leur mode de vie.Les classiques: Naissance mariage décès mais aussi du fait de l'abondance de protestants dans la famille, les contrats de mariage, testaments, partages, codicilles etc...
Je veux tout savoir d'eux, aussi modestes soient-ils! Leurs âges au mariage, leurs tailles, leurs particularités physiques quelquefois par le SHAT, leurs surnoms très souvent .Le montant de la modeste dot des filles par les CM. J'aime imaginer comment ils vivaient.
Au délà d'un maximum d'ancêtres, connaitre leurs métiers, leurs déplacements, l'histoire des villages concernés. Avec un point spécial : dans ses mémoires Philippe de Commynes cite un officier ou notable exécuté sur ordre de Charles Le Téméraire et qui porte mon nom. Dans la mesure où il s'était enfui et réfugié dans les Ardennes, berceau de ma famille, je rêve bien entendu de faire un jour le lien entre ce Madoulet du 15° s. et mes ancêtres connus.....mais 200 ans les séparent encore ! ;-)
Toutes informations me permettant justement de mieux cerner l'existence de mes aïeux ; les dates BMS sont bien sûres les premières, mais pas les seules : anecdotes diverses concernant les lieux, les familles, les modes de vies de l'époque ....
Actuellement surtout des actes d'état civils, notariés, des articles de journaux et quand c'est possible des témoignages (là, le temps joue contre moi).
la vie telle qu'elle a été vécue par mes ancêtres, leur place dans la "grande histoire"Toutes celles qui peuvent m'apporter des renseignements sur la vie autrefois, sur l'histoire locale et familiale. Ce qui a pu créer des conflits dans une famille ou un village. Les traditions locales et les accidents ou bienfaits liés.
Pour le moment, nous préférons parcourir les villes et les villages détenant les registres d'état civil et paroissiaux, ce qui présente un aspect plus "humain" que la simple consultation de microfilms. Nous réservons les rares visites aux AD pour les communes où il est impossible de procéder autrement, et dans quelques mois pour les autres types d'informations (classes, rôles de taille, gabelle, relève de garde-cote, ...), le travail de préparation des déplacements étant en cours. La source la plus largement exploitée pour le moment reste les registres, préférant en premier lieu avoir un recensement suffisamment étoffé avant de poursuivre les recherches dans les autres sources. Nous recherchons tout ce qui peut concerner nos ascendants, c'est-à-dire les événements ponctuant leur existence, de la naissance à la sépulture (voire à l'inventaire après décès), en passant par les événements militaires, les acquisitions, les professions exercées, les impôts versés.Comme sauf exception, dans les familles roturières il est difficile de remonter au-delà de 1650,je recherche tout ce qui a trait au cadre de vie de nos ancêtres, à l'histoire locale, les troubles religieux en Ardèche, les vicissitudes de l'histoire en Alsace etc. Je pense d'ailleurs que dans quelques années, la recherche de ses ancêtres sera facilitée mais aura perdu beaucoup de son intérêt par l'existence d'immenses bases généalogiques.Toutes, les ascendants bien mais aussi : les lieux où ils ont vécus (histoires) (documents cartes postales anciennes) anecdotes, coutumes locales et gastronomie Les métiers (documents cartes postales anciennes).Je "fais" de la généalogie depuis plus de 10 ans, avec des recherches localisées dans 2 régions très différentes (Haute Garonne et Franche Comté), tout en habitant en région parisienne. D'où de grosses difficultés pour effectuer les recherches. J'organise mes données en 2 bases distinctes, et je ne dédaigne pas, au passage, de faire quelques relevés systématiques de paroisse (autant de bases supplémentaires). J'y retrouve plus tard assez souvent des renseignements utiles en deuxième lecture. Je note le maximum de renseignement glanés dans l'acte ou le registre, le nom des rédacteurs, des curés, des professions, les indications sur les notables, les maladies,... (et ne sais pas toujours comment les mémoriser dans le/les logiciels utilisés (Griot et H7).Tout ce qui me fait avancer, aussi tous les bouquins dans les brocantes parlant d'histoire, tout est intéressant : géographie, démographie, ethnologie, etc..... on ne peut pas se borner à remonter simplement papa, maman, etc..... enfin pas à mon stade !
Quelles informations échangez-vous ?
Tout ce que j'ai en ma possession, informations simples (dates et/ou lieux de ° X +) mais également les actes qui sont transcrits et scannés.
Jusqu'ici, j'ai peu échangé, mais cela devrait changer avec la création de la liste "vivelay". J'ai longtemps eu l'impression d'être le seul à chercher dans les communes auxquelles je me suis intéressé jusqu'ici. Il était très rare que mes informations recoupent celles d'un autre chercheur internaute
Des actes, des branches, des fichiers
Avec qui et comment ? Via 2 ou 3 listes de discussion (56 et 35) et les sites Internet, je trouve des personnes étudiant des patronymes communs sur les même communes. On échange alors par mails. en général, il s'agit de données en vrac (lieux, dates) plus rarement de transcription d'acte, mais ça ne m'empêche pas de vouloir faire moi-même une copie de ces actes. (AD, CD-ROM et mairies). Quasi-jamais de gedcom. mais de toute façon, ces échanges sont rares (hélas)
Toutes celles en ma possession quand un cousinage est REELLEMENT établi.
Tous ce que je peux connaitre.
Toutes celles que j'ai à ma disposition, principalement avec des cousins et des personnes ayant des liens . Par courrier, principalement, étant informatisé que depuis peu de temps, je n'ai pas eu encore l'occasion de le faire par courrier informatique, mais je pense que cela ne va pas tarder.
En généalogie il ne faut pas être avare des renseignements qu'ont a pu trouver mais ...mais attention dans une certaine mesure et bien connaître les gens à qui on confie les informations glanées depuis des années, je ne " donne " qu'après plusieurs échanges. J'ai encore en mémoire cette " cousine" à qui imprudemment j'ai donné toute mon ascendance et ma descendance,non seulement elle ne m'a jamais remerciée mais q.q temps après je suis tombée sur son site et j'ai tout retrouvé!! Elle n'a pas était sourde avec l'e.mail que je lui ai envoyé et avec injonction de tout effacer a compter de mes parents et descendants, et elle s'est exécutée. Depuis je suis méfiante, mais quand j'ai confiance je donne! Donc, quand je suis sûre de la personne.
Mais précisément, rendre service a ceux qui sont loin du lieu de naissance de leur ancêtre, les aider au maximum et découvrir plein de nouveaux cousins,et faire aussi des échanges. Les forums de Yahoo, sont excellents pour ces échanges, GenWebCousins aussi est extra avec leurs listes des patronymes étudiés.
Dans un premier temps des relevés d'actes d'après ma base ( + de 50 000 Individus, incluant des reconstitutions de familles suite à des dépouillements de communes où mes ancêtres étaient nombreux ) à la demande. Si nous cousinons l'ascendance commune, puis le fichier sosa avec contrepartie ( mais je deviens méfiant..) Et avec deux ou trois cousin(e)s généalogiques avec les quels la confiance est maintenant totale nous échangeons tout ( état civil, histoire familiale, locale, photos ) et au besoin nous nous partageons le travail à faire. Mais comme vous le voyez, ils ne sont pas très nombreux, car j'ai trop donné et souvent peu reçu, ou reçu n'importe quoi, ce qui est pire encore ! Les échanges se font par Internet la plus souvent, aussi par courrier avec quelques vieux cousins non connectés ou lorsque la nature des documents l'exige.Je communique volontiers à qui me le demande les informations que je détiens, par courrier, téléphone, e-mail personnel, listes de diffusion, bulletins des Centres Généalogiques dont je suis adhérente. Je consulte également différents sites Internet.Pour la raison évoquée en préambule, je ne publie rien si ce n'est des listes tirées de mon logiciel, des dates ou informations ponctuelles.Références d'événements (dates, lieux), de sites Internet perso (ceux des autres, moi je n'en ai pas), actes numérisés. Exceptionnellement photocopies d'actes. Avec des cousins ou des internautes en contact, de façon générale tous ceux qui me demandent quelque chose.Toutes celles que j'ai à ma disposition, principalement avec des cousins et des personnes ayant des liens . Par courrier, principalement, étant informatisé que depuis peu de temps, je n'ai pas eu encore l'occasion de le faire par courrier informatique, mais je pense que cela ne va pas tarder.Je communique volontiers à qui me le demande les informations que je détiens, par courrier, téléphone, e-mail personnel, listes de diffusion, bulletins des Centres Généalogiques dont je suis adhérente. Je consulte également différents sites Internet.Les informations échangées sont d'abord simples lieux , dates depuis les listes yahoo les échanges sont plus par mail que par lettre au début je me suis mis su généanet et les échanges ont été postaux ,maintenant mails ,le but écrire une histoire des origines de la famille ceci à l'usage de mes petits-enfants afin qu'il n'oublie pas leurs origines ,qu'il soient fiers de leurs ancêtres paysans et vignerons !!!! les listes qu'il est possible de faire avec un logiciel de généalogie sont le vecteur de publication de nos informations avant de franchir le pas du site ceci est un projet toujours retardé avec l'alibi plus tard ce sera plus complet Je suis toujours pret a échanger (mais un vrai échange) toute informations pour autant que l'on respecte en publication accessible sur l'internet la règle des "- de 100 ans". Je fais confiance, malheureusement il y a beaucoup de voleur d'informations.Toutes les infos que nous possédons, excepté pour les collatéraux contemporains (histoires de famille obligent...). Je reçois des autres généalogistes
Lorsque je me suis abonné à Internet, il y a 5 ans environ, naïvement j'ai déposé mes listes sur Geneanet, Cailgeo, les cousins etc, espérant des échanges fructueux. Ce ne fut pas le cas, environ 3 sur 4 des demandeurs de renseignements ne remerciant pas, même quand on leur a donné une généalogie sur plusieurs générations. Je continue à répondre à toutes les demandes de renseignements mais en fournissant au 1 er échange, le minimum de renseignements pour tester le demandeur. J'ai néanmoins pu tisser avec quelques "cousins" des liens très amicaux aussi bien par courriel qu'au téléphone ou par rencontre.Tout ce dont je dispose pour la période non contemporaine, sans contrepartie même si quelquefois j'apprécierai au moins un petit merci mais ...bof...
J'échange sans hésiter toutes les informations que je possède dès qu'une demande quelconque est émise (entre particuliers) presque toujours par Email ou sur les forums.
Tout ce que je possède et que l'autre recherche, si je le peux !
Avec qui et comment ?
La généalogie n'est pas un capital privé, mais au contraire un travail collectif ou toutes les découvertes peuvent et doivent être échangées avec les correspondants, grâce principalement à Internet
Avec les personnes de mon entourage proche : cousins. Mais surtout avec des internautes que je rencontre sur des mail-list et qui recherchent dans les mêmes zones géographiques que moi. Egalement, dans une proportion moindre, avec des membres de cercles auxquels j'adhère. C'est pour moi une petite proportion car mes activités professionnelles et familiales me laissent peu de temps. Je recherche lors de soirées passées devant le micro enfermé dans mon bureau.
Jusqu'ici: Deux ou trois protestants du Vivarais et du Velay. J'ai aussi dépanné quelqu'un qui avait des ancêtres à Genève (où j'habite), sans contrepartie.
Avec ceux qui travaillent sur les mêmes villages et que je rencontre dans des petites réunions locales (sous-groupe parisien du Morbihan)Très peu, et seulement avec ma proche famille, sous forme de listes, d'arbres, ou de photocopies de documents.
Avec ceux de mes proches que ça intéresse, mais ils ne sont pas nombreux et par l'intermédiaire d'internet avec des "cousins" rencontrés sur Généanet ou sur des listes de recherches localisées ( Alsace, Loire, Italie )
Avec les personnes avec lesquelles je cousine, pour une grande partie rencontrées sur le Net.
Pour le moment je n'ai jamais eu de contact avec d'autres personnes, je suis un débutant, mais j'y pense de plus en plus car mon arbre commence a prendre forme. Je pense utiliser un site sur Internet.avec qui : comme dit plus haut... avec les cousins généalogiques comment : par envoi de TOUTE la documentation que j'ai collectée (envoi par Internet ou par courrier) tant généalogique que bibliographique ou photographique ou encore... que sais-je ?
En ce qui concerne l'échange, j'utilise les supports classiques geneabank mormons et autres. Les contacts avec les associations locales car je suis en train de faire la généalogie du village de ma grand mère. Du fait de mon éloignement de la france , j'utilise (comme vous avez pu le constater) pas mal Internet. Je profite de mes déplacements fréquents en Europe pour prendre 1 ou 2 jours pour aller aux archives et photographier les registres que je depouille plus tard au soleil de californie. Ces photos peuvent etre partagées sur simple demande.
Je pense y avoir répondu plus haut, cependant je peux ajouter que je voudrais bien arriver à mener à terme une généalogie générale de mon patronyme que j'ai commencé il y a environ 8 ans, celui ci n'étant pas trop répandu, et la faire connaitre au plus grand nombre.En ce qui concerne l'echange, j'utilise les supports classiques geneabank mormons et autres. Les contacts avec les associations locales car je suis en train de faire la genealogie du village de ma grand mere. Du fait de mon eloignement de la france , j'utilise (comme vous avez pu le constater) pas mal Internet. Je profite de mes deplacements frequents en Europe pour prendre 1 ou 2 jours pour aller aux archives et photographier les registres que je depouille plus tard au soleil de californie. Ces photos peuvent etre partagees sur simple demande.Dans un premier temps des relevés d'actes d'après ma base ( + de 50 000 Individus, incluant des reconstitutions de familles suite à des dépouillements de communes où mes ancêtres étaient nombreux ) à la demande. Si nous cousinons l'ascendance commune, puis le fichier sosa avec contrepartie ( mais je deviens méfiant..). Et avec deux ou trois cousin(e)s généalogiques avec les quels la confiance est maintenant totale nous échangeons tout ( état civil, histoire familiale, locale, photos ) et au besoin nous nous partageons le travail à faire. Mais comme vous le voyez, ils ne sont pas très nombreux, car j'ai trop donné et souvent peu reçu, ou reçu n'importe quoi, ce qui est pire encore ! Les échanges se font par Internet la plus souvent, aussi par courrier avec quelques vieux cousins non connectés ou lorsque la nature des documents l'exige.Avec des cousins ou des internautes en contact, de façon générale tous ceux qui me demandent quelque choseAvec tout ceux qui m'apportent quelque chose, en direct, par courrier ou par Internet et dans le monde entier; je mets aussi à disposition des infos gratuites et sans échange apparent concernant plusieurs miliers de condamnés à mort de la région de Nantes pendant la révolution (c'est ma contribution aux recherches, sachant que moi aussi j'ai profité du travail des autres) Je fournis à qui me le demande, et avec un enthousiasme particulier bien entendu aux nouveaux "cousins" identifiés :-) Mes données sont consultables sur Généanet, et prochainement (d'ici 1 an) sur un site personnel. Les échanges se font par Gedcom, arbre en fichier PDF, chroniques sous Word et listes Excel. Il m'est également arrivé de recevoir des données par voie postale. Les échanges par mail se font exclusivement en privé, ne pouvant pas répondre dans des délais acceptables sur les listes de diffusion :-(Par Internet, gedcom ou échanges de courriel ou par la poste. J'avoue ne pas être très à l'aise dans l'échange et surtout les comparaisons de gedcom, question d'age probablement.Mes cousins, mes nouveaux contacts, demandes spontanées probablement en provenance de Geneanet et CGW ? si je le peux, etc..... et même création de listes privées sur Yahoo entre "Cousins" sur un périmètre très limité de 20km. Nous mettons tous nos Gedcom en commun pour une énorme Base de donnée. Là, gros problèmes du fait de la fantaisie des saisies. Mais après premières expérience, j'ai indiqué votre site des standards qui a beaucoup intéressé le "comité directeur" (il en faut un) et chacun essai de suivre les consignes qu'un "Cousin Chef" a pris en main afin que nos saisies soient conformes, chacun y met du sien et j'espère que nous arriverons à une Base générale saine dans peu de temps !
Avez-vous un but et si oui : lequel ?
Mon but est de renseigner le maximum de branches et surtout de valider tout évènement. Le but final serait de créer des sortes de "clubs" des descendants de Mr X né en 16xx ou de Mr Y né en 17xx, qui rassembleraient tous les descendants retrouvés. Bref la vraie cousinnade !!!
J'ai vaguement l'envie de laisser à mon fils un arbre que je souhaite aussi développé que possible, mais s'il y a un domaine où l'on ne fait pas forcément ce qu'on veut... Je suis aussi curieux de me découvrir des cousins inconnus. En fait, il semble que ce soit plutôt quelques-uns d'entre eux qui m'aient découvert :-o)
La performance de nombreux Sosa, eh oui ! Mais aussi de reprendre contact avec une parentèle avec qui les liens se sont distendus
Chacun doit avoir un hobby dans ses moments libres. Je trouve, faire des recherches généalogique enrichi énormément ma façon de voir la vie dans son ensemble. Depuis que je fais de la généalogie, j'ai une toute autre optique sur mon existence, bcp de choses dans vie que je mène à changer.Pas de but précis. Je sais que mes recherches ne seront jamais terminées. J'essaie de transmettre le flambeau à mon petit fils et j'espère lui laisser des documents exploitables. Comme je ne fais qu'une confiance relative à une technologie qui reste très vulnérable, je conserve les renseignements essentiels sur des registres écrits à l'encre de chine pour résister au temps ! Pour mon "chercheur" de fils la généalogie est une très bonne méthode pour stimuler les neurones vieillissants.
Eventuellement retrouver du cousinage, des lieux, maisons, villages où ont vécu des ascendants.Laisser à mes enfants une trace, un travail qui éclaire le passé de la famille. De remonter le plus loin possible dans le temps et si j'ai le temps écrire une chronique familiale parallèle à l'histoire avec un grand H.J'aimerais laisser quelque chose derriere moi racontant l'histoire de ma famille.Aller au maximun de l'ascendance sur toutes les branches. (BMS) puis obtenir des détails sur la vie de ces personnes puis faire des recherches descendantes en partant des plus proches.Laisser documentation pérenne qui puisse être utilisée par tout descendant des "cousins". En disant cousin j'ajoute généalogistes ou non et je souligne le "non"... parceque ceux là n'ont peut-être pas la patience requise ou la disponibilité nécessaire pour faire des recherches, mais sont souvent aussi rès intéressés par les résultats. Les cousins généalogistes eux, sont très souvent comme moi, préfèrent faire les recherches que simplement ajouter dans leurs fichier le résultat des travaux faits par d'autres !!Je pense y avoir répondu plus haut, cependant je peux ajouter que je voudrais bien arriver à mener à terme une généalogie générale de mon patronyme que j'ai commencé il y a environ 8 ans, celui ci n'étant pas trop répandu, et la faire connaitre au plus grand nombre.'Finir' cette genealogie du village du moins pour les sources classiques BMS et E.C. Continuer ma genealogie personelle et celle de ma femme. Fouiller les sources notariales et autres pour les branches en fin de sources classiques.En premier : organiser une cousinade des parents proches, ce qui fut fait cette année ( 110 participants sur 200 descendants recensés). Dans deux ou trois ans : une grande cousinade remontant à l'installation définitive de mes ancêtres paternels dans les Ardennes au début du XVIIIe siècle, avec un souci essentiellement historique. Un rêve : le livre de la famille reliant la généalogie familiale et l'histoire petite et grande
Un objectif en forme de défi plus qu'un but : prendre un ascendant et établir sa descendance complète. Mais comme d'une part j'en suis entre la 6ème et la 15ème génération suivant les branches, donc un nombre élevé de "bases", et que d'autre part j'ai déjà du mal à remplir ce contrat avec la descendance de mes arrière grand parents (et en plus ça change tout le temps) c'est vraiment pour la forme. 'Finir' cette généalogie du village du moins pour les sources classiques BMS et E.C. Continuer ma généalogie personnelle et celle de ma femme. Fouiller les sources notariales et autres pour les branches en fin de sources classiques.
Mais précisément, rendre service a ceux qui sont loin du lieu de naissance de leur ancêtre, les aider au maximum et découvrir plein de nouveaux cousins,et faire aussi des échanges. Les forums de Yahoo, sont excellents pour ces échanges, CousinsGenWeb aussi est extra avec leurs listes des patronymes étudiés.Un objectif en forme de défi plus qu'un but : prendre un ascendant et établir sa descendance complète. Mais comme d'une part j'en suis entre la 6ème et la 15ème génération suivant les branches, donc un nombre élevé de "bases", et que d'autre part j'ai déjà du mal à remplir ce contrat avec la descendance de mes arrière grand parents (et en plus ça change tout le temps) c'est vraiment pour la forme.Connaître l'histoire réelle, celle vécu par mes ancêtres, je suis persuadé que celà éclairera ce que je suis. et en même temps me faire plaisir car j'éprouve une grande satisfaction à faire ces recherches et à les partager en famille et en dehors.
Le but de beaucoup de généalogiste ... raconter l'histoire de sa famille aux enfants, je crois que beaucoup de maux de notre civilisation est la perte de connaissance de ses racines. La quête d'une origine "noble" ne m'intéresse nullement. De toutes façons seules des familles + - aisées ont pû assurer une descendances du Haut-Moyen-Age à nos jours.Finir de rédiger ma chronique familiale pour transmettre à mes petites filles et aux générations futures d'un peu de l'histoire de notre famille sans cela comment saurait-ils que leurs AAAGP étaient -Suisses, Luxembourgeois, Prussiens, Picards, Normand, Auvergnats, Foreziens Jurassiens, Bressois, Vendômois, Mayennais et une branche Parisienne depuis au moins 1770 mais avant ?Avancer dans toutes les lignées de ma généalogie et celle de mon fils que cela n'interesse pas particulièrement. D'autres cousins de sang sont interessés, aussi, je vais transmettre. Maintenant père de famille, cela semble le motiver un peu plus (cela s'esplique par son agp qui a adopté le son gp, saq lignée agnatique n'existe pas et la mienne est complète, alors "frustation", de même pour la mère de ma petite fille ! Ma petite fille sera peut-être un jour interessée un jour ? A mon âge, l'important est de faire ce qui m'interesse et de prendre mes précautions pour que mon travail ne soit pas perdu si je décède ! Difficile de déposer avant son décès, on n'a jamais terminé une généalogie ?
Comment publiez-vous vous informations ?
En utilisant les nouveaux médias élaborés par les logiciels et sites généalogiques.Grâce à un site Internet en cours de fabrication. Et également grâce aux arbres édités en grand format et aux classeurs d'actes transcrits-scannés qui, dans une fête familiale, ont toujours un grand succès auprès des jeunes enfants, adultes et plus vieux.
J'ai lâché une ou deux listes éclair sur le net, pour l'instant, sans susciter de réactions ou à peine. Par sport cérébral, je travaille à un site personnel où je mettrai, entre autres, des indications généalogiques mais je peine, faute de temps
Juste une petite feuille, très irrégulière, racontant l'histoire des « inconnus » des albums photos et consignant les souvenirs dont on me fait part
Via email par courrier via Internet dans le club des amis de l'histoire de mon village
Pour le moment je ne publie rien, mes capacités en informatiques étant modestes.Pas envisagé pour l'instant, en tant que vraiment "publication", par contre j'ai déposé comme beaucoup de généalogistes des données limitées aux SOSA tant auprès des cercles régionaux concernés par les recherches qu'auprès de GENEANET pour ne pas le nommer sous forme de GEDCOM!! Par contre, remise systématique des documents aux cousins établis (leur éloignement dans la parenté n'a aucune importance) déjà dit plus haut. Quant à la forme, elle dépend du destinataire : utilise-t'il ou non un logiciel (si oui j'envoie un fichier.ged), dispose-t-il oui ou non d'internet (si oui c'est plus facile et moins rentable pour LA POSTE) etc...Internet Bien sur CD avec la publication Hiridis.
Pas de publications de prévues, mais il est certain que lorsque mes recherches seront suffisamment conséquentes et intéressantes, que je les communiqueraient à une association généalogique à laquelle j'adhère, ainsi qu'aux AD de la Haute Saône, département qui semble être le berceau de ce patronyme.
Via Geneabank et les associations. Je compte créer mon site mais le temps me manque. Trop de boulot et trop de déplacements. J'ai aussi fait un depot a la bibliothèque Genealogique de Paris.
D'abord sur le site perso et ensuite avec les listes de patronymes comme GenWebCousins et d'autres. Tous ces sites généalogiques sont très bien fait et m'ont permis de progresser dans ma généalogie grâce aux échanges car je ne fais que " donner ", je reçois aussi .
Pourquoi ? Mais précisément pour les échanges .
Pour le moment la cousinade 2002 a fait l'objet d'un recueil souvenir de 80 pages environs. l'arbre de famille complet actuel n'a été diffusé qu'auprès de parents passionnés et partageurs, ce qui n'est pas toujours le cas. il sera en ligne sur un site Internet dans quelques mois après achèvement de certaines recherches pour avoir toutes les branches sur 10 générations minimum ( dans la mesure du possible évidemment !) après je verrai ce qui peut-être fait, et avec qui !
J'ai mis en évidence une grosse erreur dans des données en ligne concernant un ascendant (plus précisément le relevé des actes d'une commune), erreur existant aussi sur les tables vendues par le cercle départemental concerné. Je ne considère donc pas ces publications comme fiables. De plus quoique considérant que toutes les données d'état civil sont publiques et publiables (voir le débat sur la loi des 100 ans) je n'apprécie pas certaines pratiques mercantiles, et évite donc la mise de données en commun , à l'exception de groupes "fermés" dont je suppose les membres honnêtes (selon mes critères). Comme je ne me sens pas la capacité ni l'envie de créer et gérer un site, je me contente donc de répondre aux demandes que l'on me fait. Je trouve néanmoins cette limitation pénalisante pour l'avancement de mes travaux.Pas de publications de prévues, mais il est certain que lorsque mes recherches seront suffisamment conséquentes et intéressantes, que je les communiqueraient à une association généalogique à laquelle j'adhère, ainsi qu'aux AD de la Haute Saône, département qui semble être le berceau de ce patronyme.
Via Geneabank et les associations. Je compte créer mon site mais le temps me manque. Trop de boulot et trop de déplacements. J'ai aussi fait un dépôt a la bibliothèque Généalogique de Paris.
D'abord sur le site perso et ensuite avec les listes de patronymes comme CousinsGenWeb et d'autres. Tous ces sites généalogiques sont très bien fait et m'ont permis de progresser dans ma généalogie grâce aux échanges car je ne fais que " donner ", je reçois aussi . Pourquoi ? Mais précisément pour les échanges .Pour le moment la cousinade 2002 a fait l'objet d'un recueil souvenir de 80 pages environs. L'arbre de famille complet actuel n'a été diffusé qu'auprès de parents passionnés et partageurs, ce qui n'est pas toujours le cas. Il sera en ligne sur un site Internet dans quelques mois après achèvement de certaines recherches pour avoir toutes les branches sur 10 générations minimum ( dans la mesure du possible évidemment !) après je verrai ce qui peut-être fait, et avec qui !Internet, échanges écrits à qui me le demande, organisation d'une grande réunion mondiale des porteurs de mon patronyme en 2004, écrire un livre sur unn ancêtre nantais accusé de vol de chevaux en 1782 et un autre livre sur un ancêtre nantais qui termina prêtre vicaire général de la cathédrale de Singapour en Malaysie.
Pour le moment j'ai créé une page perso ou l'on trouve uniquement la liste de mon ascendance. Mon expérience en généalogie est récente, et donc ma base est essentiellement faite de contemporains. De fait je ne veux pas publier ces informations sur Internet. Par contre je pense que Internet est un excellent support pour publier ses informations de + de 100 ans .
Publier ses informations renvoie à la notion de plaisir complétée de la notion de partage qui peuvent être aussi un but en soi.C'est le gros problème. C'est encore le point faible de ma démarche, car il faut faire un gros travail de mise en forme (Word, Excel, Tableaux, mise en page d'images, de cartes, de plans,...). Et dès que c'est fini, toute information nouvelle rend obsolète le beau travail précédent.Je n'ai encore fait que de la publication restreinte surtout au milieu familial, je vais d'ailleurs avoir l'occasion de le faire fin février pour la célébration des noces de brillant (65 ans) de mes beaux-parents. Ce sera sur papier et j'espère que mon logiciel actuel tiendrat ses promesses.Publication des informations uniquement sur Internet, pour le moment sur Généanet.Du fait de très grandes avancées faites depuis quelques mois, le trimestre prochain ma généalogie soza va commencée a être diffusée dans le "Compendium" de l'AGE/OISE à Compiègne. Avant ma pratique sur Internet, je gardais tout pour moi, mais maintenant ma mentalité à changé. Il faut communiquer et partager avec les autres ! Aussi, communiquer au moins une partie à FamilySearch pour les PERPETTE sachant qu'un ou plusieurs collatéraux sont partis en Amérique avec Lafayette en 1779. J'ai perdu mon contact U.S., maintenant c'est à moi de tendre la perche pour renouer des liens !Trop âgé pour créer un site, mes informations restent dans Heredis, à la disposition de mes enfants ou de ceux qui en font la demande
Et pourquoi ?
Afin de faire progresser liens et documents.Une généalogie n'appartient à personne, c'est une photo à un moment donné qui relie des personnes unis par le sang. Elle n'a de raison d'être que si elle est partagée par un grand nombre de personnes
Question insidieuse. D'abord pour pouvoir échanger, mais sans doute aussi par une sorte d'exhibitionnisme. Vous voyez que je suis franc et sans illusions.Pour ne pas faire que du fichier et des relevés d'acte et parce que il y une demande des générations montantes Et pour rendre hommage à toutes ces petites gens Pour résoudre aussi sans doute quelques petits problèmes d'identité (pas trop graves)
Pour partager mes trouvailles avec le plus de monde possible.et pour créer une opposition à la généalogique mercantile comme a écrit un adhérant.Dans l'état actuel de mes recherches je suis obligée de faire des hypothèses.
Ce n'est pas gênant pour mon usage personnel ( je note mes incertitudes sur les fiches dans les champs utilisateurs ) mais je ne veux pas induire d'autres amateurs en erreur. Et puis...il faut bien avouer que je ne maîtrise pas la publication sur Internet. Je ne pense pas que ces réponses vous apportent beaucoup, mais un détail par-ci, un autre par-là, si ce n'est pas comme ça qu'on fait de la généalogie
je n'ai rien compris.
C'est la question que je me pose, car que deviendrons mes fichiers informatiques dans quelques années. Je pensais a un livre ou un autre support papier, edite en plusieurs exemplaires que je pourrais donner a mes descendants.J'ai envoyé un gedcom sur un site qui publie en ligne, mais je n'en ai fait la publicité qu'à quelques personnes de ma famille. le travail n'est pas encore assez abouti à mon gré pour que je le montre plus. je ne pense pas faire avant pas mal d'année de CD ou travail rédigé.
Les recherches sont faites pour être communiquées, mais en matière de généalogie... il y a beaucoup trop de "rapaces" dont les intérêts sont uniquement financiers, donc je ne divulgue mes recherches qu'auprès de personnes sincèrement intéressées (je dois avouer que je n'exige pas d'elles le même comportement envers les " rapaces" s'agissant d'un point de vue personnel).La facilité
Les personnes qui travaillent via Internet et même beaucoup d'autres ont évolués, il faut savoir donner pour recevoir en retour ! Ceux qui prennent seulement sont repérés et on les laissent tomber ! La généalogie est une enquête continuelle, comme pour la "Police" seul les infos partagées apportent un résultat ! Il n'y a pas de miracle, nous sommes trop petits chacun dans dans notre coin !Le plaisir d'éventuellement partager
Faut-il des explications à la passion? elle se suffit à elle-même!Le but principal est le partage. Les données publiées sont disponibles pour qui le souhaite (après, ce n'est qu'affaire de respect et de savoir-vivre : j'estime normal d'être averti des rapprochements effectués par un autre généalogistes, même pour des branches collatérales). La recherche de cousinage n'est pas un but en soi, mais ça donne un peu de vivant dans ces recherches...
Page réalisée par Sylvain Peyrichou, Renaud Anzieu
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