Modifications

Recherches généalogiques en Suisse

18 224 octets ajoutés, 3 mars 2013 à 11:21
aucun résumé de modification
===Les Notaires===
Les plus anciens registres de notaires remontent au XIIIè siècle et sont, pour la plupart, rédigés en latin jusqu’en 1536. Par la suite, les actes sont rédigés en français, allemand, italien ou romanche. Le plus souvent les registres sont conservés aux archives cantonales. Comme les autres registres ils sont soumis à des lois sur la protection de la vie privée (entre 80 et 120 ans suivant les cantons). Ils renferment principalement des actes d’achat et de vente de propriétés, des contrats, des reconnaissances, des donations et des partages, mais aussi des actes de réception de bourgeoisie. En cas de besoin, on peut également consulter le site des notaires de Suisse Romande http://www.notaires.ch/.
 
 
==Comment chercher en Suisse ? / Noms de familles suisses==
===Commune d'origine===
Pour faire de la généalogie en Suisse il faut connaître le principe de citoyenneté suisse, vous en trouverez la description sur la page suivante: http://www.eye.ch/swissgen/citiz-f.htm. Vous y verrez en particulier que le Suisse est citoyen de la confédération, du canton, mais surtout pour ce qui concerne les recherches généalogiques d'une commune. Il s'agit généralement de la commune où son plus ancien ancêtre patronymique a été enregistré pour la première fois. Cette citoyenneté communale est indiquée dans tous les actes importants: naissance, mariage, décès. Tous les actes concernant un individus sont rattachés à cette commune. Les communes tiennent des registres des familles et/ou des registres de bourgeoisie pratiquant ainsi un "double enregistrement" par rapport aux actes des églises ou de ceux d'état-civil.
Pour bien comprendre la différence entre commune politique, commune bourgeoise et commune d'origine, lire l'histoire des communes sur http://www.diesbach.com/sghcf/bourgeoisie.html. On consultera également l'article du bulletin de l'AVEG sur l'octroi du droit de bourgeoisie aux "Heimatlose" http://www.aveg.ch/fr/Ressources/Articles_bulletins.htm
 
Aussi convient-il de déterminer le plus précisément possible dans quelle(s) commune(s) chercher. Le répertoire des noms de familles suisses est indexé sur Généanet ce qui peut vous permettre d'affirmer/infirmer que votre patronyme avait bien le droit de bourgeoisie dans un village suisse en 1962 en quelques coups de clics... http://news.geneanet.org/fr/article.php?sid=73. L'édition de 1861 est également en ligne en anglais sur le site de Swissroots http://history.swissroots.org/genealogy.0.html?f=&p=&c[]=Swiss+Family+Name+Handbook&rg=10&jreg=0&m=&do=show. Cela donne comme résultat une liste de communes qu'il faudra "décoder" suivant l'exemple de la page http://www.eye.ch/swissgen/famnam-m.htm.
 
Une Fédération suisse des bourgeoisies et corporations existe et a son site en ligne http://www.svbk.ch/.
 
===Comparer son travail et celui des autres===
Il est fort possible que le résultat du SSD mentionne le "von Moos". Ce livre répertorie les généalogies publiées et donne leur lieu de conservation. Généralement soit la Bibliothèque Nationale Suisse (Adresse et conditions d'accès sur http://www.snl.ch/f/fuehr/pr_index.htm) soit la bibliothèque de la SSEG/SGFF qui est également conservée au même endroit mais dans un fond différent.
 
Un index des pages internet regroupant les généalogies suisses des particuliers se trouvent sur http://www.eye.ch/swissgen/family-f.htm.
 
Internet et les autres chercheurs peuvent également vous aider ! Pour vous faciliter la tâche de recherche dans la toile, Genealogiesuisse vous propose deux pages qui regroupent l'une les moteurs de recherche et l'autre les bases de données généalogiques.
 
===Particularités Cantonales===
La Suisse n'est pas uniforme et la recherche dans les différents cantons peut s'avérer fort différente... Dans certains cantons il faut obtenir une autorisation spéciale pour consulter les registres et la facilité d'obtention de cette autorisation varie suivant les cantons. Le canton d'Appenzell n'en délivre malheureusement aucune, même aux historiens. Dans les cantons de Bâle-Ville, Bâle-Campagne, Berne, Genève, Neuchâtel, Soleure, Vaud et Zurich, les originaux des registres sont conservés aux archives cantonales. Dans les cantons d'Argovie, Grisons, Lucerne, Saint-Gall, Tessin, Thurgovie les registres ne sont pas centralisés mais des microfilms sont à disposition aux archives cantonales. Dans les cantons de Fribourg, Glarus, Nidwald, Schwytz, Tessin, Uri et Zoug les registres se trouvent encore dans les paroisses, (cf. § 1.5 Religions pour avoir les adresses). On peut généralement les consulter sous réserve qu'ils soient en bon état et que le curé soit de bonne volonté. Compte-tenu de ces particularités, il vaut souvent mieux consulter les microfilms chez les mormons.
 
===Onomastique===
Voici quelques sites sur l'onomastique (signification des patronymes) dans la Suisse romande :
 
http://www.favoris.ch/patronymes/
http://www.admin.ch/ch/f/bk/sp/doc/noms.html.
http://www.eye.ch/swissgen/rsr/
http://isuisse.ifrance.com/ssgf/Onomastique_romande.htm
 
Il faut également savoir qu'en Suisse romande des modifications de noms ont eu lieu à la fin du 15e siècle- début du 16e siècle. Trois types de modifications ont eu lieu lorsque la population arriva à un volume tel qu'il était impossible de savoir de qui on parlait. Un deuxième nom a été adjoint au premier séparé ou non par le mot "dit". Ce deuxième nom pouvait être attribué d'après un surnom, d'après un prénom ou d'après un évènement marquant. Quelques exemples "Droz-dit-Busset", "Jeanneret-Grosjean", "Huguenin-Virchaux", "Peter-Comtesse"... pour tout faciliter le nom original n'est pas toujours le premier !
 
Dans les Grisons, il y a un autre phénomène onomastique remarquable : les noms de famille des Grisons commençant par CA. Les patronymes rhétoromans commençant par CA- sont en fait le résultat d'une abbréviation. CA- voulant dire CASA (la maison). Avec des déformations ou abréviations on a les exemples suivants :
 
CAPAUL = CASA PAUL = de la maison de Paul.
CADUFF = CASA DUFF = CASA RUDOLF = de la maison de Rudolf
CALUZI = CASA LUZI = CASA LUIGI = de la maison de Luigi
 
Il faut bien comprendre que cette manière de désigner les gens a été utilisée il y a assez longtemps (de 1400 à la création des patronymes)
De la maison peut évidement signifier qu'on est "de la famille de" mais également qu'on est "employé par " dans le cas de grosses fermes.
 
On consultera également l'article de l'AVEG sur l'origine et formation des patronymes http://www.aveg.ch/fr/Ressources/Articles_bulletins.htm.
 
==Les Suisses et les migrations / Militaires et mercenaires suisses==
===Immigrations===
Concernant l'immigration vers la Suisse, un premier mouvement est celui des Vaudois (adeptes de Pierre Valdo) [ils n'ont rien à voir avec les habitants du canton de Vaud] qui ont quitté leurs vallées turinoises pour venir en Suisse en 1686 et ont pour la plupart fait le voyage retour en 1690, pour d'autres ont émigré vers l'Allemagne. Pour trouver les références des ouvrages qui traitent de leur passage en Suisse, lire : "Bibliografia valdese" d'Augusto Armand-Hugon & Giovanni Gonnet, Publication : Torre Pellice : Tip. subalpina, 1953 [FHL INTL Film 1181890 Item 4].
 
Un autre mouvement important est celui des réfugiés protestants qui ont quitté la France où ils étaient persécutés durant la période du "désert" (1685-1787). Des registres spéciaux leur étaient ouverts : les "Recensements des protestants réfugiés". Regardez le site http://www.unige.ch/biblio/ses/jla/gen/sou003-f.html#RecProtRef pour plus de détails.
 
Plus tard vers 1840, un mouvement d'immigration de juifs alsaciens a eu lieu à travers le Doubs (Besançon et Pontarlier). Même s'ils n'étaient pas autorisés à vivre en Suisse avec leurs familles, beaucoup d'hommes Juifs y séjournaient temporairement plusieurs fois par an pour leur commerce déjà depuis la fin du 18e siècle, et c'est pour cette raison qu'ils ont établi leurs domiciles officiels en Alsace si près de la frontière (Hégenheim et Buschwiller, deux villages avec une forte population Juive au 18-19e siècle, se trouvent à 1 et 5 km de Bâle) puis vers 1840, suite à de fortes manifestations anti-juives dans toute la région, ils ont commencé à demander leur naturalisation Suisse.
 
Enfin après 1870 des alsaciens ont émigré en Suisse, suite à l'annexion de l'Alsace par l'Allemagne.
 
===Émigrations===
On trouvera des renseignements généraux auprès des archives fédérales sur le site http://virtor.bar.admin.ch/fr/rec/the/aus.aspx
 
L'émigration la plus ancienne (13e, 14e siècle) dont on aie trace est celle des Walser http://www.wir-walser.ch/francais/wersind.html.
 
Vous trouverez deux pages très bien faites qui détaillent les raisons économiques et religieuses qui ont pu pousser de nombreux suisses à émigrer sur http://perso.club-internet.fr/jeanmarc.vonallmen/emigrationF/index.html. Vous pouvez également consulter http://www.snl.ch/dhs/externe/protect/textes/F7988.html qui donne une bonne synthèse des émigrations des Suisses. On se réfèrera également à http://www.junod.ch/genealfr/pourquoi_em.html qui dresse un parallèle intéressant entre la Suisse du 18e et 19e siècle et les pays les moins avancés (PMA) actuellement. On trouvera sur http://www.christm.ch/support/allgemein/auswanderungsuche.htm (en allemand) un résumé de la problématique des recherches d'émigrants suisses et de la méthodologie pour en retrouver les actes.
 
Pour des renseignements fonction des pays d'arrivée, vous pouvez consulter http://cinquiemesuisse.ifrance.com/cinquiemesuisse/. Un musée des Suisses à l'étranger se trouve au chateau de Penthes (VD) http://www.chateau-de-penthes.ch/f/musee/home.htm.
 
Il y a eu plusieurs émigrations suisses dans les 400 dernières années. Il y a plusieurs grandes périodes :
 
1640-1690 suite à la guerre de 30 ans et aux facilités offertes par le roi de France et les princes allemands pour une installation dans des territoires vidés de 90% de leur population originale (voir ci-dessous).
1690-1740 émigration principalement religieuse : les mennonites (anabaptistes) ont été chassés. Principales destinations : territoire de Belfort, Sainte-Marie-aux-Mines, USA.
En connaitre plus sur les anabaptistes suisses : http://www.snl.ch/dhs/externe/protect/textes/F11421.html et http://gamanoyo.free.fr/claudebaecher/Pages/Docsanab.html
1740-1840 période de grosse augmentation de la population (peu de maladies et de guerres) mais pas du nombre d'exploitation agricoles, émigration vers les USA et le Canada principalement
1840-1910 émigration pour des raisons d'export de technologies vers les régions voisines (Franche-Comté principalement et horlogerie principalement), et émigration suite à des accords gouvernementaux vers l'Amérique du Sud : 1869-1880 et 1883-1900, principalement le Brésil, l'Argentine et le Chili.
 
Un édit royal favorisant l'implantation d'émigrants en Alsace - Franche-Comté et Lorraine a probablement été publié par Louis XIV à l'issue de la guerre de 30 ans (1648). Il n'en reste pas de trace sauf le mémoire de M. de Rosselange (un fonctionnaire lorrain d'après Reuss), rédigé vers 1656 et adressé au ministre Colbert. M. De Rosselange affirme que les gouvernements de Hanau-Lichtenberg, de Wurtemberg et le gouvernement français envoyèrent (cela se passe donc avant 1656) des hérauts et des trompettes dans les pays voisins, invitant les étrangers à s'établir chez eux, en leur promettant que, sans payer aucun cens, ils pourraient choisir une maison et autant de terres qu'ils seraient en état de labourer et que pendant une certaine période, ils seraient exempts de tout impôt". De nombreux Suisses sont venus. Des allemands également ainsi que quelques français du massif central ou de champagne.
Pour plus de détails, on se reportera aux livres suivants :
 
"L'Alsace et la Suisse à travers les siècles" Recueil de plusieurs études - Editions F.X. LE ROUX, Strasbourg-Paris 1952, contenant entre autres :
- "L'immigration suisse dans le Sundgau après la Guerre de Trente Ans" - Paul STINTZI.
"Schweizer Einwanderung ins Elsaß", in - Eberhart STRICKER[T], Jahrbuch der Elsaß-Lothringischen Wissenschaftlichen Gesellschaft zu Straßburg, Bd. 10., 1937. [FHL microfilm 1071428, item 6]
"L'immigration helvétique dans les principautés de Murbach et de Lure après la guerre de Trente Ans (1649-1715)" Roger BONNAUD-DELAMARE in cahiers d'études comtoises n° 8 - Les Belles Lettres, Paris, 1966
"L'immigration Suisse dans le comté de Nassau - Sarrewerden aprés la Guerre de Trente Ans." - Robert GREIB, 1971-1972, 2t Société d'Histoire de Saverne
"L'immigration Suisse dans le comté de Hanau - Lichtenberg au 17e siècle" - Walter BODMER, 1930, Faculté de Strasbourg
"L'immigration suisse dans la vallée supérieure de la Thur" - Paul STINTZI, 1953-1954 in Annuaire de la Société d'Histoire des Régions de Thann-Guebwiller
"L'émigration helvétique dans les montagnes du Doubs après la Guerre de 10 ans" - JM THIEBAUD [FHL - Livre : 944 46 w 2t]
 
En ce qui concerne l'émigration au 19e siècle, on pourra lire l'article sur le cas particulier du Valais sur le site http://www.ritsumei.ac.jp/acd/cg/law/lex/kotoba03/kametani.pdf
 
A côté de ces mouvements migratoires principaux, d'autres émigrations -minoritaires - ont eu lieu pour des motifs de sédition, idées révolutionnaires, bannissement ou autres...
 
Il faut également parler d'une migration particulière qui a transformé le terme de "Suisse" de nationalité en métier. On consultera en particulier les anciens dictionnaires français http://duras.uchicago.edu/cgi-bin/quick_look.new.sh?word=suisse pour avoir une bonne idée de ce que recouvre ce métier de garde. On remarquera que le mot vers 1800 désigne presque à coup sûr à la fois le métier et la nationalité pour ne plus désigner que le métier 35 ans plus tard. Cette migration a non-seulement eu lieu vers la France mais également vers la Russie ou le mot "schwejtsar" désigne toujours un portier.
 
Une base recense les suisses francophones qui sont partis vers la Russie: http://www.geneaguide.com/rech-index/index.htm?sel=Russie.
 
On citera également les mouvements des marchands de toile suisse qui ont acquis des droits spéciaux (exemption de taxes) dans le royaume de France dès le 15e siècle. On consultera en particulier le site de l'encyclopédie de Diderot et d'Alembert sur http://hera.inalf.cnrs.fr/cgi-bin/getobject_?a.117:100:2./home/leonid/artfl/ENC/
 
===Gens du voyage===
On trouvera un descriptif des sources disponibles sur les gens du voyage sur le site des archives fédérales http://virtor.bar.admin.ch/fr/rec/the/hei.aspx
 
===Militaires et mercenaires suisses===
Il faut remarquer que de nombreux Suisses ont participé en tant que militaires dans des corps de troupes organisés ou en tant que mercenaires à la plupart des conflits intra-européens. Certains ont fait souche à l'étranger. Il faut en particulier noter que les accords avec les états leur garantissaient une liberté religieuse. Un article général sur les mercenaires suisses : http://www.unil.ch/spul/allez_savoir/AS20/pdf_files/2.pdf.
 
Les Archives Militaires de la Confédération Helvétique dont l'adresse ont leur site http://www.vbs-ddps.ch/internet/vbs/fr/home/ausdem/gensec/milit.html
Le musée militaire de Morges(VD) peut également être d'un grand intéret http://www.chateau-morges.ch/index.html
Pour la Garnison suisse de la papauté, sur http://www.vatican.va/roman_curia/swiss_guard/ une recherche de ses éléments de carrière pourra être effectuée si la question est précise : nom, prénom, commune d'origine et date de naissance.
Pour les suisses au service du roi de France, se renseigner auprès du Musée Franco-Suisse de Rueil-Malmaison : http://www.diesbach.com/sghcf/r/rueil.html ou http://isuisse.ifrance.com/ssgf/museerueil.htm
On trouve les régiments suisses au service de la France et leurs drapeaux sur http://tmg110.tripod.com/royfr3.htm
Pour le régiment de Salis-Samade on consultera http://www.geocities.com/Athens/Delphi/8534/salis.html
On consultera également le dépouillement des suisses du roi établis en région parisienne faits par le CGVY http://www.cgvy.org/suisses_az.html
On trouve la liste des régiments Suisses au service de la France, ainsi que de nombreux renseignements sur leurs drapeaux et uniformes sur le site de Patrick et Joseph Margerand : http://perso.wanadoo.fr/patrick.margerand/drapeaux/dra-suis.htm
Pour les Suisses dans les armées napoléoniennes on consultera en particulier la page sur leur contribution à Waterloo http://www.geocities.com/Athens/Delphi/8534/waterloo.html
Pour les régiments suisses au service de l'Angleterre on consultera spécialement : http://regiments.org/milhist/ch/uk/meuron.htm et http://www.colba.net/~vallee/Meur.html sur le régiment de Meuron et http://regiments.org/milhist/ch/uk/roll.htm sur le régiment de Roll
Pour un descriptif global des mercenaires suisses on consultera leur musée à Genève http://www.ville-ge.ch/geneve/culture/musees/musees/militaire.htm et quelques drapeaux http://www.fotw.net/flags/ch-merce.html
 
Bibliographie :
 
Documents généraux sur les troupes
 
"État militaire de France" par les sieurs de Montandre-Longchamps... et chevalier de Montandre,... [1re-33e édition, année 1758-1791.] [Texte imprimé] Publication : Paris : Guilly, [1758-1791], (33 volumes), disponibles à la BNF, contiennent des renseignements sur la composition des armées françaises en troupes étrangères.
"Les Contrôles de Troupes de l'Ancien Régime", André CORVISIER, tome III, 1970
 
Documents spécifiques aux troupes suisses
 
"Le Régiment des Gardes Suisses, Honneur & Fidélité", Capitaine DE VALLIERE, Paris, 1912
"Les Cent-Suisses du Roy", Renée THOMAS, in Stemma, n°82, 1999, page 1855
"Les Suisses au service de la France", Jérome BODIN, Paris, 1988, ISBN 2-226-03334-3 . Histoire des troupes suisses qui, de 1460 à 1850, servirent la France.
"Suisses au service de la France, XVIIe-XIXe siècles", O. Azzola, S. Billonneau et JC Mercier sous la dir. de T. Sarmant, Château de Vincennes, 2001. Longue introduction historique, orientation bibliographique, sources complémentaires, index
"Le 10 août 1792", publication de ASHSM, Berne, 1993, concerne le massacre des Suisses aux Tuileries.
"Présence des Gardes Suisses à Houilles", Jean VALETTE in Stemma n° 32, 33, 40, 66, 67, 68, 69 et 70
"Les Vaudois de Napoléon - Des Pyramides à Waterloo", Alain-Jacques TORNARE, Editions Cabédita, Yens sur Morges, avril 2003.
174
modifications