Installées dans les préfectures successives (d’abord l’ancien Grand Séminaire, puis le Palais Lantivy), les Archives départementales connaissent au XIXe siècle une période faste, marquée par la rédaction des inventaires prescrits par le Règlement général de 1843 et par de nouveaux accroissements (notamment les archives des évêchés de Mariana et Accia en 1857, puis de Sagone et du Nebbio à la fin des années 1880).
===Archives en ligne===
====Etat civil Haute-Corse====
Les Archives départementales de la Haute-Corse ont procédé à la mise en ligne des registres d´état civil de 1793 à 1902 des communes de Haute-Corse suite à l´opération de numérisation débutée en 2008.<br />
La numérisation s´est achevée en 2009 ; ce sont ainsi 797 814 pages qui seront à terme mise à la disposition des chercheurs sur internet.<br />
*http://www.cg2b.fr/cg2b/cgi-bin/pages/index.pl?idarbo=807&lang=fr
====Registres matricules====
*[http://www1.arkhenum.fr/ad_corsedusud_matricules/ Registres matricules du recrutement militaire (1859-1910) et registres de la Garde nationale mobile (1865-1870)]
:Après les plans du cadastre « napoléonien », les Archives départementales mettent en ligne les registres matricules du recrutement militaire (1859-1918), ainsi que les registres matricules de la Garde nationale mobile (1865-1870).Accès est ainsi donné aux états signalétiques et des services d’un peu plus de 131 500 hommes appelés sous les drapeaux au cours des soixante années couvertes.Les états de plus de 100 ans sont librement communicables ; les autres sont partiellement occultés, leur consultation intégrale étant possible sur dérogation.