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Les Archives nationales d'outre-mer ('''ANOM''') installées à Aix-en-Provence en 1966 ont pour mission la "conservation des archives relatives à la présence coloniale française outre-mer", à l'exception du Maroc et de la Tunisie, dont les archives sont conservées par le ministère des Affaires étrangères.
les Archives nationales d'outre-mer conservent deux grands ensembles au passé administratif et archivistique différent : *• les [[Archives (lexique)|archives]] des secrétariats d'Etat d’État et ministères chargés du XVIIe siècle au XXe siècle des colonies françaises ;
*• les archives transférées des anciennes colonies et de l'[[Les communes d'Algérie de 1951 à l'indépendance|Algérie]] au moment des indépendances entre 1954 et 1962 à l’exclusion des archives de gestion restées dans les pays concernés.
==L'ALGÉRIE==
===Etat État civil===
Les registres originaux sont conservés en Algérie. Les [http://anom.archivesnationales.culture.gouv.fr/ ANOM] ne conservent que des images numérisées. Pour consulter la base état civil dit "européen" d'Algérie cliquez sur IREL puis dans la rubrique Etat État civil, cliquez sur Registres numérisés. <br />Pour les actes de moins de 100 ans le lecteur s’adressera au service central de l’Etat l’État civil à Nantes (44941 Nantes cedex)
===Colonisation===
Les ANOM conservent l’[[état civil]] d’environ 30 territoires. Pour connaître la liste des registres paroissiaux et d'état civil d'un territoire donné, cliquez sur IREL puis dans la rubrique Etat civil, cliquez sur Répertoire général.
Pour les années de moins de cent ans, il faut s' adresser au ministère de l’Outre-mer, service de l’Etat l’État civil, 27 rue Oudinot à Paris.
À quelques exceptions près (registres d’esclaves ou d’affranchis), l’état civil colonial ne concerne que les colons français.
:Elle contient aussi une réserve de livres rares (700 titres).
;Bibliothèque de l’Ecole l’École coloniale : installée à Paris (rue de l’Observatoire), l’Ecole l’École coloniale formait les administrateurs du domaine colonial français. À des fins documentaires et pédagogiques, elle se dota, dès 1890, d’une bibliothèque qui compta dans les années 1950, plus de 30 000 titres dont une partie fut transférée à Aix en 1975, soit plus de 15 000 ouvrages.
:Fonds clos, à l’origine très technique, on y trouve de nombreux manuels de langues indigènes, des traités de droit, des ouvrages de géographie ainsi que des ouvrages sur les colonisations anglaises et hollandaises.