Même principe que la numérotation d'Aboville, mais en utilisant des lettres au lieu de chiffres. Lettre en majuscule pour les garçons et en minuscule pour les filles.
'''Exemple :''' : Le fils aîné du personnage dont on veut établir la descendance est le A, la cadette est le b, le benjamin le C. Les deux enfants de l'aîné sont le Aa et le AB (une fille et un garçon). Les quatre enfants de la fille cadette sont le bA, bB, bc, bd (deux garçons puis deux filles). L'enfant unique du benjamin est le CA.
Pour distinguer différents mariages et les enfants qui en sont nés. L'enfant du premier époux de la cadette sera le b1A, ceux nés du deuxième époux sont le b2B, le b2c et le b2d. Un enfant naturel sera indiqué par le chiffre 0.
''' L'auteur de cette méthode précise :'''
1- "le système original est plus complet que celui utilisé par les divers logiciels car il permet de numéroter également les belles-familles, et même toute personne lié au de [[cujus ]] par des liens de parentés non directs : les beau-frères des beau-frères des conjoints sans limitation de distance. "
2 - "Jacques Dupâquier était le responsable de l'enquête TRA et a utilisé le système que j'avais mis au point dans le cadre de cette enquête. Il a été donc le deuxième utilisateur de cette méthode. Et le fait qu'il l'utilise pour l'enquête TRA a entrainé sa diffusion. Mais cette diffusion vient aussi du fait que des développeur de logiciels de généalogie que j'avais contacté l'ont intégré, avec mon autorisation, à leurs programmes."