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Numéroter

5 octets ajoutés, 18 février 2011 à 15:53
La numérotation lettrée dite Pélissier
=La numérotation lettrée dite Pélissier=
Démographie Généalogie Micro-Informatique. Editions Christian 328p. De Jean-Pierre Pélissier (1985) [contemporain, chercheur à l'INRA] C'est la reprise, du même auteur, (une première édition avait été faite par le CNRS en 1983) d'un mémoire de Démographie passé à l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales sous la direction de Jacques Dupâquier.
Même principe que la numérotation d'Aboville, mais en utilisant des lettres au lieu de chiffres. Lettre en majuscule pour les garçons et en minuscule pour les filles.
 
'''Exemple :''' Le fils aîné du personnage dont on veut établir la descendance est le A, la cadette est le b, le benjamin le C. Les deux enfants de l'aîné sont le Aa et le AB (une fille et un garçon). Les quatre enfants de la fille cadette sont le bA, bB, bc, bd (deux garçons puis deux filles). L'enfant unique du benjamin est le CA.
Pour distinguer différents mariages et les enfants qui en sont nés. L'enfant du premier époux de la cadette sera le b1A, ceux nés du deuxième époux sont le b2B, le b2c et le b2d. Un enfant naturel sera indiqué par le chiffre 0.
 
Dans le cas de mariages consanguins, il faudra choisir la numérotation de l'un des deux conjoints entraînant celle de la postérité.
''' L'auteur de cette méthode précise : ''' 1- "le système original est plus complet que celui utilisé par les divers logiciels car il permet de numéroter également les belles-familles, et même toute personne lié au de cujus par des liens de parentés non directs : les beau-frères des beau-frères des conjoints sans limitation de distance. " 2 - "Jacques Dupâquier était le responsable de l'enquête TRA et a utilisé le système que j'avais mis au point dans le cadre de cette enquête. Il a été donc le deuxième utilisateur de cette méthode. Et le fait qu'il l'utilise pour l'enquête TRA a entrainé sa diffusion. Mais cette diffusion vient aussi du fait que des développeur de logiciels de généalogie que j'avais contacté l'ont intégré, avec mon autorisation, à leurs programmes." 
=La numérotation Meurgey de Tupigny=
Méthode mise au point par Jacques Meurgey de Tupigny, ancien conservateur aux Archives Nationales (Guide des recherches généalogiques aux Archives Nationales. Paris, 1953 (Bn : 8° L43 119 [1])) Parfois critiquée car elle tend à l'étude agnatique masculine. Mais elle peut convenir pour suivre la transmission d'un patronyme. Principe : Générations numérotées en chiffre romain (I, II, III, ...) Le père porte le numéro I, les enfants portent le numéro II assorti d'un second numéro en chiffre arabe indiquant l'ordre de naissance. Exemple : II.1 pour l'ainé, II.2 pour le cadet etc ... Variante (utilisée en Belgique) : au lieu d'utiliser un chiffre arabe avec le chiffre romain de la génération, il y a deux variantes : lettres de l'alphabet, en majuscules (SCGD); ou bien bis, ter,... (OGHB, SCGD). http://www.moreau-christian.com.fr/lexique_genealogique.htm
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